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Tournée génerale à Sarande

27 juillet 2011

Un tampon de sortie pour la grèce et un d’entrée pour l’Albanie et le tour est joué en 5 minutes. Ies douaniers semblent plus curieux de nous voir arriver avec un véhicule obsolète que de savoir ce que nous avons à l’intérieur du Combi, qui nous sommes où nous allons pourquoi , comment avec qui… Presque trop facile.
Entre les voitures de douaniers et nous il n’y a pas foule pour entrer en Albanie, A part ce gigantesque bus allemand comme paré pour le rally Paris Dakar. Enfin un nouveau pays. Un pays dans lequel il ne faut pas s’arrêter !


Le Combi mis en pilotage automatique, nous nous plaisons a contempler le paysage semi montagneux. Les moutons semblent se délecter de l’herbe locale, ils broutent tout en marchand peut être suite à la mise en garde des bergers Hélenistes.


Notre objectif est de gagner la cité de Butrint. Lieux classé patrimoine de l”UNESCO. Apparement splendide. Mais si la route est bonne, les panneaux indicatif eux se font rare. Le bus atteignant son PTCM (poid total en charge maximum) nous avons jugé bon de ne pas prendre de carte routière.
Personne en vue, tous les chemins mènent à….. La station service.

Petite certe mais pleine de vie. 4 personnes d’un âge avancé semblent pris dans une conversation intense autour d’une tasse da café.
Des photos en perspectives ? Comment vont-ils réagir ?

La personne qui répond à notre question : ‘’Does anyone speak English ?’’ est grec, il s’appelle Peter Raptis
Il vient rendre visite à son ami Albanais comme chaque année. Il est écrivain du haut de ses 79 ans. Son oeil pétille après que nous lui ayons raconté le pourquoi de notre voyage. Il veut voir l’appareil photo.
Nous commençons à bien maîtriser les installations spontanée sur sol à déclivité prononcée. Sus au gravas nous sortons la camera. Le temps d’un café et son portrait est dans la boîte.

La serveuse qui pendant tout ce temps là vint butiner autour de notre table semble elle aussi tentée par un photo.
Nous apprenons très vite via Peter devenu traducteur officiel de la situation, qu’elle est gérante des lieux depuis deux ans. Elle s’appelle Vjollca.
A partir de ce moment les photos se succèdent. Vjollca nous présente sa soeur encainte son neuveu, sa mère puis un ami, fidèle pilier du troquet. Tous se prètent au jeu.

C’est un vrai plaisir. A raison d’une bierre que l’on ne peut pas refuser entre chaque photo, les flous deviennent très artistiques. Nous passons 3 heures riches en émotion, à se connaitre et à plaisanter. Molly demande s’il est possible de prendre une adresse email pour leur envoyer la version positive des photos.
Ils secouent la tête en riant, pas d’email.
Une adresse postal alors, nous pouvons les imprimer et vous les envoyer ?
Posta ? Vjollca secoue la tête à nouveau. Oui, posta, mail renchérie Molly pensant que sa question était incomprise.
Il nous a fallu un peu de temps pour le croire mais il n’y a pas de service postale à Sarande.

Le combi a droit à son premier plein de carburant albanais et nous reprenons le Volant.



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